Philippe Lavandy
#Photographe
- Exposition
D'Ici Là, une exposition collective
« D’ici là » par l’Atelier de photographie d’Assesse. Suite à une collaboration entre la cellule « Article 27 » de Namur, le photographe Philippe Lavandy et le CPAS d’Assesse, un atelier de photographie a été mis sur pied fin 2009 et début 2010. Lors de ces ateliers, les usagers du service social général, les demandeurs d’asile hébergés en Initiative Locale d’Accueil pour demandeurs d’asile et les Mineurs Etrangers Non-Accompagnés ont pu s’exprimer par le biais des photos sur le concept d’identité et de voyage. Les participants ont appris à lire le monde qui les entoure avec un regard différent et à s’envisager dans une démarche active... - Exposition
Lignes intérieures - Philippe Lavandy
Lignes intérieures est une série élaborée sur deux ans. Plutôt que de se déplacer dans l’objectif d’arriver à destination, le photographe belge a privilégié le temps propre du trajet en train. Non pas le train des vacances, mais celui, urbain, du déplacement quotidien entre domicile et travail. A l’aube ou au crépuscule des journées routinières, Philippe Lavandy dégage le drame et la poésie des quais, des attentes, des zones de transit, des visages encore ou déjà harassés....
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« D’ici là » par l’Atelier de photographie d’Assesse. Suite à une collaboration entre la cellule « Article 27 » de Namur, le photographe Philippe Lavandy et le CPAS d’Assesse, un atelier de photographie a été mis sur pied fin 2009 et début 2010. Lors de ces ateliers, les usagers du service social général, les demandeurs d’asile hébergés en Initiative Locale d’Accueil pour demandeurs d’asile et les Mineurs Etrangers Non-Accompagnés ont pu s’exprimer par le biais des photos sur le concept d’identité et de voyage. Les participants ont appris à lire le monde qui les entoure avec un regard différent et à s’envisager dans une démarche active...
Lignes intérieures est une série élaborée sur deux ans. Plutôt que de se déplacer dans l’objectif d’arriver à destination, le photographe belge a privilégié le temps propre du trajet en train. Non pas le train des vacances, mais celui, urbain, du déplacement quotidien entre domicile et travail. A l’aube ou au crépuscule des journées routinières, Philippe Lavandy dégage le drame et la poésie des quais, des attentes, des zones de transit, des visages encore ou déjà harassés....