Orly Dahan
#Photographe
- Livre
Orly Dahan - La robe de mariée
Tout commence par une robe de mariage qui a été achetée à l’auteur par sa mère. Ce n’est pas une tradition, juste une envie de sa part. Depuis ce temps-là, la robe a été gardée dans l’armoire familiale, sans être sortie ni pour un mariage ni pour essayage. Parallèlement, il y a le film du mariage de ses parents, tourné sur une caméra 16 millimètres des années soixante-dix. Des images à la fois très universelles et très privées. La présence absente de cette robe, la relation désir-rejet du mariage, cette obsession du bonheur absolu, cette vision si subjective du bonheur a poussé la photographe à sortir la robe de l’armoire.
20 x 20 cm
... - Exposition
Orly Dahan LA ROBE photo et video
Tout commence par une robe de mariage qui m’a été achetée par ma mère, il y a douze ans. Ce n’est pas une tradition, juste une envie de sa part. Depuis ce temps-là, cette robe a été gardée dans l’armoire familiale, sans être sortie ni pour un mariage ni pour essayage. Parallèlement, il y a le film du mariage de mes parents, tourné sur une caméra 16 millimètres des années 70, puis transféré sur VHS et projeté de temps à autre, en général pendant le shabbat. Des images à la fois très universelles et très privées.
Des images mémorisées dans mon corps. La présence absente de cette robe, ma relation désir-rejet du m...
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Tout commence par une robe de mariage qui a été achetée à l’auteur par sa mère. Ce n’est pas une tradition, juste une envie de sa part. Depuis ce temps-là, la robe a été gardée dans l’armoire familiale, sans être sortie ni pour un mariage ni pour essayage. Parallèlement, il y a le film du mariage de ses parents, tourné sur une caméra 16 millimètres des années soixante-dix. Des images à la fois très universelles et très privées. La présence absente de cette robe, la relation désir-rejet du mariage, cette obsession du bonheur absolu, cette vision si subjective du bonheur a poussé la photographe à sortir la robe de l’armoire.
20 x 20 cm
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Tout commence par une robe de mariage qui m’a été achetée par ma mère, il y a douze ans. Ce n’est pas une tradition, juste une envie de sa part. Depuis ce temps-là, cette robe a été gardée dans l’armoire familiale, sans être sortie ni pour un mariage ni pour essayage. Parallèlement, il y a le film du mariage de mes parents, tourné sur une caméra 16 millimètres des années 70, puis transféré sur VHS et projeté de temps à autre, en général pendant le shabbat. Des images à la fois très universelles et très privées.
Des images mémorisées dans mon corps. La présence absente de cette robe, ma relation désir-rejet du m...