Niloufar Banisadr
#Photographe
- Festival
Sept femmes photographes font le Printemps photographique
Être femme photographe n’a pas toujours été si évident… Longtemps affaire des hommes, la profession et la pratique artistique de la photographie sont restées une « chasse gardée » et si les femmes y participaient, il était davantage question de les retrouver devant l’objectif que derrière ou alors dans des registres subalternes, tels ceux d’assistantes…
Ce nouveau Printemps photographique se fixe donc comme cadre la photographie des femmes.
Une première ? Pas tout à fait ! Les deux principales invitées du précédent Printemps étaient deux photographes chiliennes de deux générations distinctes et de très grand talent : Paz Er... - Exposition
Niloufar Banisadr
Hommage à Madeleine Riboulet dite Madame Banisadr
Née de parents Nîmois en 1900, Madeleine perd sa mère à l'âge de cinq ans dans un accident de train. Son père l'entourera de toute son affection, toute sa vie. A sa retraite, ils reviendront à Nîmes, elle suivra les cours de violon au conservatoire et trouvera très vite un poste d'enseignante au Lycée Daudet. Elle rencontrera son futur mari, un étudiant boursier Iranien dans cette même école. Très vite après s'être mariés et avoir eu un enfant, ils partiront en Iran.
Soixante années de correspondance avec Mme Maurel, sa seule amie, attestent de l'extraordinaire aventure que fut sa vie en Iran depuis 1930. Elle y aura deux autres enfants, elle continuera à jouer du violon à l'orchestre de Radio Téhéran et à l'enseigner. En 1945, après dix-huit an...
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Être femme photographe n’a pas toujours été si évident… Longtemps affaire des hommes, la profession et la pratique artistique de la photographie sont restées une « chasse gardée » et si les femmes y participaient, il était davantage question de les retrouver devant l’objectif que derrière ou alors dans des registres subalternes, tels ceux d’assistantes…
Ce nouveau Printemps photographique se fixe donc comme cadre la photographie des femmes.
Une première ? Pas tout à fait ! Les deux principales invitées du précédent Printemps étaient deux photographes chiliennes de deux générations distinctes et de très grand talent : Paz Er...
Hommage à Madeleine Riboulet dite Madame Banisadr
Née de parents Nîmois en 1900, Madeleine perd sa mère à l'âge de cinq ans dans un accident de train. Son père l'entourera de toute son affection, toute sa vie. A sa retraite, ils reviendront à Nîmes, elle suivra les cours de violon au conservatoire et trouvera très vite un poste d'enseignante au Lycée Daudet. Elle rencontrera son futur mari, un étudiant boursier Iranien dans cette même école. Très vite après s'être mariés et avoir eu un enfant, ils partiront en Iran.
Soixante années de correspondance avec Mme Maurel, sa seule amie, attestent de l'extraordinaire aventure que fut sa vie en Iran depuis 1930. Elle y aura deux autres enfants, elle continuera à jouer du violon à l'orchestre de Radio Téhéran et à l'enseigner. En 1945, après dix-huit an...