Mila Teshaieva est née et a grandi à Kiev, en Ukraine.
Diplômée de la National Economic University en 1998, elle travaille pendant six ans en tant qu'analyste financière. Elle décide de se consacrer à la photographie documentaire en 2004 après avoir participé à un workshop. La même année, elle quitte son travail pour l'Inde, où elle reste trois mois, et y produit ses premières histoires : les conséquences du Tsunami dans la baie du Bengale et les réfugiés tibétains. En 2004, elle gagne le premier prix ANON/DPHOTO National Competition. Depuis 2005, Mila, principalement basée à Kiev, travaille comme free-lance sur ses projets personnels et pour des commandes.
Son approche personnelle lui vaut de collaborer régulièrement avec l'UNICEF, International HIV/AIDS Alliance, Die Zeit, Moscow New Times et autres.
Depuis 2009, elle fait partie de l'agence Laif et a exposé en Ukraine et en Bulgarie.
Between 2010 and 2013, artist Mila Teshaieva photographed three former Soviet republics on the shores of the Caspian Sea: Azerbaijan, Kazakhstan, and Turkmenistan. The artist’s series tells of the challenges these newly formed states and their citizens face as they continue to forge independent national identities while simultaneously taking on the responsibilities of managing the region’s vast oil and gas reserves. The quiet, muted colors found in each image mirror the repressed uncertainties and anxieties of the people living in these countries, as they wait, hope, wish for, and imagine a future that is yet to arrive.
Past of Kenderli - 2011
© Mila Teshaieva
“The photographs of Promising Waters take viewers on a subtle and complex journey through the new oil region: from the facades o...
Le 22 août 2008, les Casques bleus russes annoncent la création de la “Buffer Zone” (zone tampon) sur le territoire géorgien entre Gori et Tshinvali. Ni les ONG ni la police géorgienne ne sont autorisées à entrer dans la zone de sécurité et plus de 50 villages géorgiens ont ainsi été livrés à la merci des maraudeurs et de la milice ossétienne. Cette zone est vite devenue un lieu fantôme : des maisons pillées et brûlées, des cadavres de villageois retrouvés dans les jardins et les caves. Des personnes âgées sont restées sur place pour protéger leurs maisons ou p...
“Depuis neuf ans, l'ANI nous fait l'amitié de recevoir des photographes pendant toute la durée de la semaine professionnelle du Festival International du Photojournalisme “Visa pour l'image – Perpignan”.
Cet accueil bénévole nous permet d'être alertés sur de jeunes talents que nous n'avons malheureusement pas le temps de rencontrer dans l'effervescence du Festival. Toute l'équipe de l'ANI assume ce rôle avec un enthousiasme débordant tout au long d'une semaine intense et malgré le nombre croissant au fil des années de photographes souhaitant un avis éclairé sur leurs portfolios, l'accueil réservé par les membres de l'ANI sefait toujours dans la joie et la bonne humeur.
Merci à tout...