Juul Kraijer
#Photographe
- Exposition
Chimaera
Press Release -
Every living form conceals a world that can fill us with utter astonishment. The true artist is one who can open our eyes to the infinities that underlie the apparent simplicity of ordinary things. ‘If the doors of perception were cleansed everything would appear to man as it is, infinite,’ wrote the 18th-century English poet William Blake. And the 20th-century French writer Colette wondered: ‘Where will it end if, little by little, we peel away appearances and encounter the life beneath their impassiveness, a nervous system beneath the bark, the capacity to suffer in something we believed to be insensitive? How long can we call something yet unknown, ‘inconceivable’?’*
It is through an artist’s perception that we are sometimes granted a glimpse of the unima... - Exposition
La Galerie Les Filles du Calvaire présente « La Femme d'à côté »
Cette exposition ressemble à un théâtre où, de la mise en scène aux personnages, tous les rôles sont tenus par des femmes. L’espace scénique prend plusieurs formes : l’intérieur d’une maison bourgeoise, les pièces d’une demeure abandon- née dont les histoires sourdent des murs, l’atelier d’une peintre ou le studio d’une photographe. Les héroïnes jouent dans l’ombre de rues bordées d’immeubles, dans celle d’un jardin arboré, face à un miroir ou au creux d’une rivière.
Le registre est plutôt celui de la tragédie. Cependant la fin de l’histoire reste en suspens et l’interprétation est laissée libre, à l’appréciation du spectateur. Ici, les héroïnes ne succombent pas à la passion qui de...
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Press Release -
Every living form conceals a world that can fill us with utter astonishment. The true artist is one who can open our eyes to the infinities that underlie the apparent simplicity of ordinary things. ‘If the doors of perception were cleansed everything would appear to man as it is, infinite,’ wrote the 18th-century English poet William Blake. And the 20th-century French writer Colette wondered: ‘Where will it end if, little by little, we peel away appearances and encounter the life beneath their impassiveness, a nervous system beneath the bark, the capacity to suffer in something we believed to be insensitive? How long can we call something yet unknown, ‘inconceivable’?’*
It is through an artist’s perception that we are sometimes granted a glimpse of the unima...
Cette exposition ressemble à un théâtre où, de la mise en scène aux personnages, tous les rôles sont tenus par des femmes. L’espace scénique prend plusieurs formes : l’intérieur d’une maison bourgeoise, les pièces d’une demeure abandon- née dont les histoires sourdent des murs, l’atelier d’une peintre ou le studio d’une photographe. Les héroïnes jouent dans l’ombre de rues bordées d’immeubles, dans celle d’un jardin arboré, face à un miroir ou au creux d’une rivière.
Le registre est plutôt celui de la tragédie. Cependant la fin de l’histoire reste en suspens et l’interprétation est laissée libre, à l’appréciation du spectateur. Ici, les héroïnes ne succombent pas à la passion qui de...