Fabrice Leroux
http://www.fabriceleroux.com
Tout a commencé vers l'âge de 10 ans, un cadeau, un instamatic Kodak.
Les obsessions de cadrage, les photos mentales quand l'appareil n'est pas là.
Puis toutes les économies qui passent dans cette passion, les boîtiers pas terribles mais les objectifs Carl Zeiss, je me régale.
J'ouvre un club photo au lycée pour séduire une fille , le photo club marche très bien... gros succès mais pas avec la demoiselle.
Une autre passion prend le dessus, le virus du théâtre, j'en fais même un métier.
Cours de théâtre (Cours Patrick Baty, Studio 34),
Deug d'histoire de l'art à Paris VIII
Avant tout des créations d'auteurs contemporains. (Philip Ridley, Michel-Marc Bouchard, Carole Fréchette, etc...).
Pleins de beaux projets des rencontres humaines et artistiques passionnantes.
Aujourd'hui, les obsessions reviennent plus forte encore, la photographie mentale ne me suffit plus.
La photographie, est pour moi un acte vital, physique, éduqué à l'argentique, même si je suis « passé » au numérique, je choisis l'instant avec précision, je ne mitraille pas, et tant pis si je rate l'«Instant».
Je vole délibérément mes images. Je ne veux pas déranger, orienter mon «sujet» par ma présence. Observateur du quotidien, du monde urbain, j'y cherche une poésie, un certain décalage de regard.
Si je suis autodidacte en photographie, mon parcours artistique n'a cessé d'enrichir mon regard.
C'est sur le Salon court-circuit que je rencontre Cedranna. (une artiste plasticienne, avec qui je développe en ce moment un projet de « roman photographique »
Le retour public, la vente de quelques œuvres m'encouragent à poursuivre. Une première commande de Plaine Commune (promotion de la Seine St Denis) sur la filière du recyclage. (Sur ce salon j'exposais notamment un travail sur des usines).
Pour voir mon travail c'est ici :
http://www.fabriceleroux.com
2013. Le prélancement du festival Présence(s) Photographie, conçu en toute modestie comme un numéro zéro, avait déjà surpris par sa qualité. L’exposition principale à la chapelle Chabrillan, Eau du sud sait autour du photographe de renommée internationale Hans Sylvester, Alain Gualina, Henri Kartmann et Stéphane Lecaille. Cinq expositions satellites, en plusieurs points de la ville, présentaient de jeunes talents.
2014. Sur le même concept, et toujours dans le champ de l’humanisme, l’édition 2014 a réuni autour de Bernard Descamps, un "grand" de la photographie d’auteur, deux regards singuliers : la photographe belge Christine Lefèbvre, et Pierrot Men : "le" photogr...
"Les Nuits photographiques entament leur deuxième édition. Dans un contexte économique difficile pour un jeune festival comme le nôtre dédié à “l’offre culturelle”, l’existence, la survie et la pérennisation du festival est si fragile. Pourtant il est important aujourd'hui, comme demain d'avoir des plates-formes de découverte et de diffusion de la création qui correspondent à notre époque, aux aspirations des artistes, des auteurs, des réalisateurs et non au marché. Nous tenons à remercier nos partenaires Nikon, Profoto et la Ville de Paris qui ont renouvelé leur soutien au festival en 2012.
L'écran, internet, accélère, diversifie, la diffusion...
Observateur du quotidien et plus particulièrement du monde urbain, de ses rites, ses gens, son vocabulaire, il déambule à la recherche d’une poésie, posant un regard décalé sur les êtres et les choses. Avec très peu d’images collectées, mais essentielles à sa sensibilité, il choisit de nous offrir avec humilité un peu de ses rencontres, composant avec les académismes et ouvrant sur l’espoir afin que « nos regards soient toujours neufs », prêts à accueillir les différences…et « à s’émerveiller d’un rien » L’aventure de Perspectives Humaines commence par un voyage en mai 2010, par une immersion dans la Chine d’hier et d&rsquo...