Emmanuelle Riva
#Photographe
- Exposition
Tu n'a rien d'Hiroshima, de Rouen à Iroshima - Emmanuelle Riva à l'été photographique de lectoure
À son arrivée à Hiroshima en 1958, Emmanuelle Riva dispose d’une quinzaine de jours avant le début du tournage du film Hiroshima mon amour. Elle fait l’acquisition d’un appareil photo “pour aller à la rencontre des habitants” et, à l’instar des photographes français de l’époque – les “humanistes poétiques” Willy Ronis, Édouard Boubat, Izis… – elle déambule dans les rues pour y saisir avec délicatesse la poésie de la vie quotidienne. Treize ans après le bombardement, ses photographies mettent l’accent sur la renaissance d’une ville dont les habitants vaquent paisiblement à des activités intemporelles, comme si la tragédie... - Exposition
Emmanuelle Riva : Tu n'as rien vu à Hiroshima
L'été photographique de Lectoure fête ses 20 ans et le Centre de photographie s'installent pour ajouter une nouvelle page à leurs histoire dans la Maison de Saint- Louis spécialement rénovée. L'été photographique a toujours été un lieu de découverte de jeunes talents qui exposaient aux côtés d'artistes plus confirmés. Parmi les expositions de cette année on trouve celle de Emmanuelle Riva, « Tu n'as rien vu à Hiroshima ». A son arrivée à Hiroshima en 1958, la photographe ne dispose que d'une quinzaine de jours avant le début du tounrage du film « Hiroshima mon amour ». Elle fait donc l'acquisition d'un appareil photo «... - Exposition
Emmanuelle Riva - Hiroshima mon amour
Une quarantaine de photographies, belles et émouvantes, prises lors du tournage d’Hiroshima mon amour par Emmanuelle Riva.
«Bien sûr que je n’avais pas oublié la tragédie, la ville entière meurtrie, les habitants carbonisés. Mais je voulais simplement sortir et prendre en photo la vie quotidienne. Une émotion m’a portée tout au long. J’ai marché dans toute la ville, j’étais passionnée, j’ai fait des dizaines de photos à chacun de mes pas. J’étais portée par l’émotion».
Emmanuelle Riva...
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