Elodie Chrisment
#Photographe
- Actualité
Le travail d'Elodie Chrisment, censurée à Tourcoing
La photographe architecte Élodie Chrisment, a été censurée par la Mairie de Tourcoing lors de l'inauguration des rencontres photographiques. Parmi ses clichés, le spectateur pouvait trouver des images poignantes signées Olivier Touron sur la révolution tunisienne, des photos sanglantes sur la boxe. En tout, une dizaine d’artistes exposés au fil des pièces et couloirs de l’Hospice d’Havré.
Elodie Chrisment a travaillé sur le bois de Boulogne à Paris et montre des scènes de vie : des relations tarifées, des femmes, toute une démarche photographique sur la misère et la prostitution.
Sa série présentait trente clichés mais la Mairie de Tourcoing en a supprim&eac... - Festival
Festival : 5ème édition des Nuits Photographiques
LE FESTIVAL
Le festival est né en 2010 d’une idée originale de créer en France un événement proposant la promotion et la diffusion du film-photographique. Nous avons initié le terme de film-photographique afin de fédérer l’ensemble des formes de créations qui pensent l’image fixe pour l’écran (Pom, web doc, time laps, stop motion...).Cette pratique émergente à la croisée du film et de la photographie associe photographes, réalisateurs, créateurs sonore, illustrateurs, monteurs, journalistes ... L’écran devient un champ de recherches et d’expérimentations de la diffusion des images. Notre vocation est la promotion de talents émergents, le soutien à l... - Exposition
Elodie Chrisment : Pleasure Places
De-hors invite Elodie Chrisment de 8 mars au 8 avril 2015
Elodie Chrisment architecte photographe présente une série d'images sur la prostitution, l'ensemble des images ont fait l'objet d'une censure de la part de la mairie de Tourcoing en octobre 2014.
L'association De-hors accroche les photographies d'elodie chrisment sur le domaine public de la cité historique de la ville de vence dans les Alpes maritime.
L'association De-hors
3, place Godeau
06140 Vence
... - Exposition
8eme rencontres du livre et de la photographie, par l'association Hélio
Jardins profanes, de Daniel Liénard : le passant acceptera-t-il la promenade qu'on lui propose dans ce jardin imaginaire ?
Même si la fleur y tient la première place, elle exprime autre chose que ce qu'elle dirait dans une page d'herbier. Ainsi le format panoramique se construit comme un retable et peut-être l'oeil, dans sa nostalgie du sacré, y cherchera alors le saint ou les donateurs et n'y rencontrera que le l'iris ou le tournesol.
Dans l'autre série d'images le paysage a fait place à la sculpture romane mais la fleur y tient une place où elle affirme son hégémonie et repose éventuellement la question de ce que l'on a voulu dire.
Le bestiaire tragique de Willy Del Zoppo rassemble des vues anim...
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