"VIVRE ENSEMBLE ou l'aventure de la fraternité" Ed. EMCC (2014)
12 photos couleur des prisons de Lyon Préface Roger Fauroux ancien ministre.
40 portraits des personnalités des Rencontres du Vivre Ensemble
"La vie grande ouverte" : le chantier de la déconstruction des prisons de Lyon annonce l'avenir. Mes photos s'imprègnent de ce moment de passage. Une première série est publiée dans ce livre ainsi que les portraits des participants au colloque du "Vivre ensemble" organisé par Habitat et Humanisme en décembre 2013.
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Catalogue n° 29 de la collection 16 ½ de DOMUS (2015 )
16 Photos couleur sur "LE CORBUSIER ESPACES COMMUNS ESPACES PARTAGES"
Résonance/Biennale d'Art Contemporain - Préface Robert Pujade ...
Ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h
Plus mercredi matin de 10h à 12h
Place Georges Trimouille 88 100 Saint-Dié-des-Vosges
Face à Le Corbusier, le photographe s'étonne.
Les photos de Christophe Guery nous déroutent par leur abstraction et nous emmènent à sa suite dans un dialogue avec le béton. Il prend son temps, et son modelage de la lumière nous fait rêver de voilages là où sont des murs rugueux. Le grain de ses photos sur papier mat nous donne envie de toucher ce béton rude et sauvage, de caresser ces "colonnes antiques"…
Sans souci de documenter le parcours, il centre son image sur les atmosphères lumineuses des lieux de vie et s'arrête sur des moments d'ombre et de ...
L'intérêt particulier que Le Corbusier accordait à la photographie était principalement fondé sur la relation étroite et durable qu'il entretint avec Lucien Hervé. Si l'architecte appréciait le travail du photographe, c'est parce qu'il pensait reconnaître à travers le regard d'un tiers l'image de sa propre intention créatrice. Lucien Hervé s'attachait à faire ressortir le plan, la situation et les caractéristiques principales des bâtiments pour les intégrer dans une composition attrayante, n'hésitant pas à réaliser des vues rapprochées, des cadrages serrés confinant à l'abstraction.
Si l'approche de Christophe Guery se situe d...
DOMUS Université LYON 1
Du 13 mars au 18 avril 2014
La photographie −on l’oublie souvent− est une pratique d’abstraction, et l’on reconnait le photographe à cette propension particulière qu’il a de ne retenir du monde visible que ce qui l’intéresse. Ainsi, les images de Christophe Guery se situent entre la photographie de paysage et la photographie d’architecture, entre toutes, monumentale : le paysage est le milieu dans lequel il opère, le monument est ce qu’il reste du paysage après qu’il en ait rêvé. Son objectif se focalise sur ces ballerons de foin enveloppés de plastique noir ; utiles à l’agriculture, leur exposition à ciel ouvert perturbe la beauté des campagnes e...
CITE RADIEUSE MARSEILLE
"MP 2013 Capitale Européenne de la Culture"
Du 8 au 29 novembre 2013
Quand Christophe Guery entreprend de photographier l'œuvre de Le Corbusier, c'est à l'homme -pour qui l'architecte a longuement travaillé- qu'il pense. Si bien que, malgré son absence, et "de commencement en commencement"* le sujet demeure l'homme, "l'homme, dans la plénitude de ses facultés, qui ne demandent qu'à s'épanouir"**.
L'arrêt sur image n'est qu'apparent. C'est au contraire la fluidité de l'œuvre, la contemporanéité, aussi, de Le Corbusier -pour qui "l'architecture est un acte d'amour et non une mise en scène"- ...
a photographie −on l’oublie souvent− est une pratique d’abstraction, et l’on reconnait le photographe à cette propension particulière qu’il a de ne retenir du monde visible que ce qui l’intéresse. Ainsi, les images de Christophe Guery se situent entre la photographie de paysage et la photographie d’architecture, entre toutes, monumentale : le paysage est le milieu dans lequel il opère, le monument est ce qu’il reste du paysage après qu’il en ait rêvé. Son objectif se focalise sur ces ballerons de foin enveloppés de plastique noir ; utiles à l’agriculture, leur exposition à ciel ouvert perturbe la beauté des campagnes en mêlant à la nature des matières ...