Andrea Vamos
#Photographe
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Exposition : « Ce que m'a dit la minute » d'Andréa Vamos
La mythologie grecque a souvent été une source d’inspiration pour Jean Cocteau, et à l’occasion de son exposition personnelle Ce que m'a dit la minute, Andréa Vamos a décidé de s'attacher au mythe du Fil d'Ariane. L’histoire est celle de ce lien, offert par Ariane au héros Thésée afin de l’aider à s’extraire d’un labyrinthe au sein duquel il risque de mourir dévoré par le Minotaure. Thésée s’en sort, sans manquer de blesser la princesse … La jeune artiste a travaillé principalement autour de deux grandes idées de ce mythe, le labyrinthe et le lien.
© Andrea Vamos
Andréa Vamos présente durant un an, deux projets au sein d... - Exposition
Andréa Vamos - N'habite plus à l'adresse indiquée
Le projet N'habite plus à l'adresse indiquée témoigne de l’agonie humaine et provoque ce tabou qui renvoie instantanément à notre condition mortelle. L’artiste nous livre huit images pleines de sarcasme et de tendresse qui provoquent empathie et aversion.
Pour cette exposition, une installation en verre situe le spectateur au sein d’un rituel émouvant, guidé par la création sonore de Chunqi, compositeur du projet.
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N'habite Plus à l'Adresse Indiquée. Mois de la photo-OFF. Andréa Vamos
Le projet "NPAI"* témoigne de l’agonie humaine et provoque ce tabou qui renvoie instantanément à notre condition mortelle. L’artiste nous livre huit images pleines de sarcasme et de tendresse qui provoquent empathie et aversion. Pour cette exposition, une installation en verre situe le spectateur au sein d’un rituel émouvant, guidé par la création sonore de Chunqi compositeur du projet.
NPAI* :N'habite Plus à l'Adresse Indiquée.
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La Biennale Internationale de l'image de Nancy
En trois décennies, cette manifestation a accueilli les plus grands noms de la photographie, Depardon comme Doisneau, Gina Lollobrigida et Edouard Boubat, Lucien Clergue ou Komaro Hoshino, Roland et Sabrina Michaud ou, voilà deux ans encore, Willy Ronis. Elle est devenue la plus importante du grand est de la France et une des plus originales du genre puisque les organisateurs obligent les photographes et autres créateurs d’images à plancher sur un seul thème. Il y eut celui de la femme (bien sûr !) des péchés capitaux ou (en 2008) de la rue. Voici cette année 1336 œuvres diverses ayant pour point commun les quatre éléments (ou l’un d’eux). La terre, l’eau, le feu ...
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