Centre de photographie de Lectoure 5, rue Sainte-Claire 32700 Lectoure France
Dans la continuité des éditions précédentes, où les expositions marquaient les étapes d’une promenade aux problématiques variables, ce nouveau parcours met en scène des démarches singulières, toutes liées d’une manière ou d’une autre à la photographie, quel que soit lemédium utilisé.
Quel Istanbul ? réunira sous la Halle les expositions d’artistes turcs - Ara Güler, Sarkis, Gül Ilgaz, Deniz Gül, Ceren Oykut - qui vivent à Istanbul où en sont originaires, et d’une artiste française, Jeanne Lacombe. La diversité des approches, la pluralité des formes artistiques évoquent la richesse emblématique d’Istanbul, carrefour historique des cultures et reflet des enjeux de notre époque. L’installation photographique A la limite du silence, de Sarkis, est une méditation dans l’intimité d’une modeste maison du centre-ville, chère à l’artiste, tandis que les mythiques photographies d’Ara Güler saisissent l’animation des rives du Bosphore et des rues d’Istanbul dans les années 50 à 70. Les artistes plus jeunes - Gül Ilgaz, Ceren Oykut, Deniz Gül – voient leur ville comme une métaphore du monde actuel et Jeanne Lacombe offre avec sa peinture une vision rêveuse du Bosphore. L’exposition « Quel Istanbul ? » est organisée avec le concours de Culturesfrance dans le cadre de la Saison de la Turquie en France.
Demeure intime de Frédéric Nauczyciel est un essai photographique sur des familles européennes, réalisé selon un protocole strict : quarante huit heures en immersion dans une famille inconnue, une place prépondérante donnée à la lumière comme sur un plateau de cinéma et la demande systématique aux modèles de "rejouer" la scène qu’ils viennent de vivre. Demeure intime tente de représenter le quotidien comme une fiction.A l’inverse, les photographies d’Hermine Bourgadier, aussi soigneusement composées que des mises en scène, ont été prises sur le vif. A quels drames nous renvoient ces corps gisant à même le sol, ces visages tendus et graves ?La réponse est donnée par les titres des photos : Catcheur, Street Fighters, Les Turfistes …
Pourtant bien accueilli à l’époque par la critique, Alain Fidon n’a plus exposé depuis les années 70 et cessé toute activité artistique jusqu’en 2000. L’exposition montrera les très noires photographies des années 70, les Bri-collages,photomontages réalisés dans les années 2000 et les recherches actuelles, où la couleur joue un rôle important.
Pour Zarma, changer à Babylone du collectif de photographes Odessa, associe dans un abécédaire des photographies à des textes commandés à des écrivains (Magyd Cherfi, Marie Didier, Jean-Hubert Gailliot, Francis Ricard,Olivia Rosenthal).
Pourtant bien accueilli à l’époque par la critique, Alain Fidon n’a plus exposé depuis les années 70 et cessé toute activité artistique jusqu’en 2000. L’exposition montrera les très noires photographies des années 70, les Bri-collages, photomontages réalisés dans les années 2000 et les recherches actuelles, oùla couleur joue un rôle important.
En faisant subir une « mutation numérique » à la campagne gersoise et aux animaux qui la peuplent, Isabelle Souriment anticipe à la manière de fables poétiques les bouleversements qui menacent notre planète.
Comme toujours, les expositions seront accompagnées d’événements (performances, rencontres, conférences, projections, etc.) organisés pour l’ouverture puis pendant la durée du festival. La programmation de ces événements est en cours.