Stéphane Charpe est né en 1977 à Vénissieux, en France.
Il passe son enfance dans le sud de la France puis à Lyon.
En 1993, il quitte sa famille pour passer un an aux Etats Unis, dans le Dakota. De retour en France, il choisi la filière littéraire. Il pratique alors la guitare, écrit des poèmes et se fascine pour les cours de philosophie.
En 1996, il poursuit ces études à l'Université Lyon III. En 2001, il rencontre Aurélie qu'il épouse en 2006 et avec qui il a deux enfants. Ensemble, ils voyagent à New York, à Istanbul, et puis en Inde. Il découvre alors la photographie et prend ses premiers clichés.
En 2004, il devient enseignant. Il travaille alors dans l'Ain puis dans le Rhône et se consacre en même temps à la photographie.
En 2010 il expose pour la première fois son travail à Sainte Foy-Lès-Lyon, au Cinéma Jeanne Mourguet, en 2011 au Centre Culturel et de la Vie Associative à Villeurbanne et en 2012 à la bibliothèque L.S. Senghor à Sainte Foy-Lès-Lyon. Il vit et travaille aujourd'hui dans la région lyonnaise.
Impossible de photographier New York sans photographier New York...
New York que chacun a l'impression de connaître à force de l'avoir vue photographiée sous tous les angles et en tous temps, de sorte que même une photo originale semble avoir déjà été rencontrée. De Manhattan aussi, dans l'inconscient collectif et malgré sa capacité à se renouveler toujours, une photo en est forcément l'archétype ! J'ai moi aussi tenté l'expérience. Je retourne à New York et aux Etats-Unis tous les dix ans. J'ai pris des photos lors de mon dernier voyage, au fil des rues, avec ma propre sensibilité mais sans ignorer la quasi impossibilité de se départir de la force de sug...
C'est à l'initiative de la galerie L'Abat-Jour que se réunissent 6 photographes pour une exposition en argentique dont les tirages ont été, en grande partie, réalisés en laboratoire sur place. L'occasion de réelles rencontres et un retour aux origines du médium, qui ralenti le temps dans un monde ou prime l'instantanéité. La photographie argentique, par la préciosité du support, le passage en chambre noire, le temps du tirage, permet ce recul, les étapes nourrissent l'image, de l'intention avant le déclenchement, de la prise de vue à son interprétation sur papier.
©Zacharie Gaudrillot-Roy
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A l'occasion de la fête des lumières, l'Abat-Jour présentera une projection de plusieurs séries photographiques sur le thème de l'errance.
La projection sera visible de l'extérieur du vendredi 6 au lundi 9 décembre à partir de 18h.
© Benjamin Lorieau
La galerie ouvrira ses portes pour l'occasion les vendredi 6 et dimanche 8 décembre.
© Guillaume Decreux
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