Photographe autodidacte, il vit et travaille à Toulouse
Fondateur du festival ManifestO à Toulouse
Expositions personnelles
2007 Le Cirque d'aujourd'hui « Affiches de cirque » Dans le cadre Caravanes de Cirque à Cornebarrieu
2006 Le Cirque. Commande de l'Ecole du Cirque Lido. Toulouse
Le Cirque à la Grainerie. Dans le cadre du Festival « Autant voler » / La Grainerie. Toulouse/Balma
Expositions collectives
2007 Surréalisme quotidien Espace Saint-Cyprien, Toulouse (Atelier recherche)
Petits voyages « Marché de Pâques », Tournefeuille collectif ManifestO
Le surréalisme quotidien de ma cuisine « Le Festin de Carbonne » collectif ManifestO
2006 Est-ce ainsi que les hommes vivent? Espace Saint-Cyprien, Toulouse (Atelier recherche)
Petits voyages. Dans le cadre de « l'art du Pré », Tournefeuille
2005 Petits voyages. Dans le cadre du festival « Okuparte », Huesca / Espagne
2004 Petits voyages. Manufacture de Tabac, Toulouse.
2003 Habillage de la façade de la Bourse de Travail. Dans le cadre du festival « ManifestO », Toulouse.
Centre Culturel, Colomiers.
Collectif « Incertaine ». Centre Méridional de l'architecture.
2002 Décadence télévisuelle. Off du festival Printemps du Septembre, Toulouse.
2001 Secret au creux de la main. MOOZ Centre Albin Minville, Toulouse.
Le quotidien pour l’appréhender nécessite une petite gymnastique intellectuelle ou conceptuelle, comme peut le faire la sociologie pour analyser ce qui apparait au commun des mortels comme banal ou habituel.
L’idée de départ est de poser mon regard sur le quotidien de mon intérieur en reproduisant avec l’appareil le myope que je suis sans mes lentilles de contact et le champ de vision extrêmement réduit que je peux avoir.
Mais ce jeu d’objectif m’as entrainé plus loin que je ne pensais dans un univers on l’on croit reconnaitre l’objet, ou pas
Au fil de ces images, le spectateur se trouve confronter à des objets communs, mais décontextualiser par l’angle de...
Le quotidien pour l’appréhender nécessite une petite gymnastique intellectuelle ou conceptuelle, comme peut le faire la sociologie pour analyser ce qui apparait au commun des mortels comme banal ou habituel.
L’idée de départ est de poser mon regard sur le quotidien de mon intérieur en reproduisant avec l’appareil le myope que je suis sans mes lentilles de contact et le champ de vision extrêmement réduit que je peux avoir.
Mais ce jeu d’objectif m’as entrainé plus loin que je ne pensais dans un univers on l’on croit reconnaitre l’objet, ou pas
Au fil de ces images, le spectateur se trouve confronter à des objets communs, mais décontextualiser par l’angle de...
Lorsque Philippe Cadu a commencé ce travail, il a été fasciné par l'agilité, l'aisance et la souplesse des corps qui contrastaient tant avec le flegme et l'immobilité attentive de sa position photographique.
Il ne connaissait aucun des numéros proposés ; ce sont donc les images de la spontanéité que vous découvrez, celles qu'a pu percevoir le public.
Son choix esthétique a été de mettre en valeur la géométrie corporelle, les enchaînements, l'énergie du spectacle, l'humour et la joie de vivre que ces artistes nous transmettent.
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