Øyvind Hjelmen #Photographe
Né en 1957, Øyvind Hjelmen vit et travaille sur île de Stord, sur la côte ouest de la Norvège. Photographe autodidacte, il est titulaire d'un BA en art moderne et esthétique de l'Université de Bergen.
Conférence «L'intimité en question » à l'Institut Suédois Exposition Exposition : les derniers jours pour assister à « Perceptions singulières » à la galerie Sit Down Exposition Exposition : « Perceptions Singulières » avec Camilla Pongiglione, Øyvind Hjelmen, Ilaria Crosta & Niccolò Hébel Exposition Øyvind Hjelmen présente « Moments Reflected » Exposition Øyvind Hjelmen - Elsewhere Modifier l'image
Cinq artistes nordiques - øyvind Hjelmen (Norvège), Tuija Lindström (Suède), Peter Neuchs (Danemark), Meeri Koutaniemi et Arno Rafael Minkkinen (Finlande) - ont été sélectionné pour le thème Au cœur de l’intime du Mois de la photo 2014.
Gabriel Bauret, auteur et commissaire d’exposition s’entretient avec Jean-Louis Pinte, commissaire de la thématique pour le Mois de la photo, ainsi qu’avec trois des cinq artistes nordiques : Øyvind Hjelmen, Meeri Koutaniemi et Tuija Lindström.
Ensemble, ils reviennent sur le pourquoi du choix de ce thème et interrogent la notion d’intimité et sa désacralisation dans un contexte contemporain où les limites entre privé et public se d&eac...
L'exposition "Perceptions singulières" de Camilla Pongiglione, Øyvind Hjelmen, Ilaria Crosta et Niccolò Hebel se termine le samedi 18 avril 2015.
Les deux jeunes commissaires Ilaria Crosta et Niccolo Hébel présentent, à côté de leur travail photographique, deux autres artistes. La jeune Camilla Pongiglione interroge l'anatomie cardiaque et sa symbolique en livrant de délicats dessins et des photographies disparates et mélancoliques. Quaant à Oyvind Hjelmen, dans un tout autre style, il évoque avec ses images charbonneuses l'inquiétude qui hante les villes. De cette collection d'images émanent des sensations diffuses, des souvenirs, d'autres histoires possibles.
© Ilaria Crosta...
Perceptions singulières est née de la rencontre de la poésie des images de Øyvind Hjelmen, de larecherche de Camilla Pongiglione, et de nos propres regards croisés. Ce premier rendez-vous d’un projet d’expositions itinérantes, pose la question du souvenir, de sa construction, de sa captation et de ses répercussions. Percevoir, métaboliser et transmettre, semblent être les moteurs communs de tous ces travaux. Les sujets et les langages diffèrent mais les interrogations restent toujours les mêmes, les doutes demeurent et les souvenirs se créent. On arrête l’instant. On collectionne un présent pour construire un passé qui éclairera peut-être un futur. Une douleur se dissout dans l’encre,...
Les photographies d’Øyvind Hjelmen posent un regard sur le temps, la mémoire, et les diverses expressions de l’intime.
Elles relèvent également du lien qui existe entre les différents moments de vie.
Presque toutes ses images sont des tirages argentiques en noir et blanc de format réduit, présentés dans de petites boîtes en carton ou en fer-blanc. Il réalise également des œuvres de dimensions plus importantes.
Alors que la plupart des images sont aujourd’hui visionnées sur écran, Øyvind Hjelmen considère que la photographie en tant qu’objet revêt une importance croissante. Selon lui, le fait de pouvoir tenir un tirage dans une main ou de feuilleter un ensemble de tirages conservés dans une petite boîte est une expérience précieuse. Elle ...
”Elsewhere” est un pastiche de moments superposés et alternés de l’existence contemporaine que nous partageons. Les images cadrent nos sensibilités modernes avec un sentiment de familiarité et de souvenirs, sans spécificité de temps ou d’espace. Les tirages argentiques, intimes, lyriques, évoquent des drames humains sans âge en invitant les spectateurs à leur propre sentiment d’appartenance commune à ces souvenirs.
Le projet "Elsewhere", toujours en cours, a de nombreux chapitres. Intrigues et rebondissements inattendus font passer le spectateur dans ce que Patrick le Bescont de Filigranes Editions a appelé un ”silencieux et poétique film noir”. Au milieu du tourbillon et du rush d...