Né en 1978 dans le nord du Pays de Galles, Matt Henry vit aujourd’hui à Brighton, en Angleterre. La politique et la culture américaine des années 60 et 70 sont les thèmes prépondérants de son œuvre pho- tographique. Thèmes sur lesquels Matt Henry a écrit durant ses études en sciences politiques (BA. à l’Uni- versité de Nottingham, Angleterre) et en photographie (Master en photographie à l’Université de Brighton, Angleterre). Biberonné à la littérature et au cinéma d’outre-Atlantique, il est aussi titulaire d’un diplôme en histoire politique américaine. Ce bagage culturel (et visuel !) alimente en permanence sa pratique. Fin connaisseur de la géographie, du passé et des rêves du pays de l’Oncle Sam, il pense ses séries, au parfum de sixties, comme des tournages de lms. « Les séries photos conservent une ambiguïté que ne peut pas se permettre le cinéma. Mes ctions habitent cet entre-deux, entre moi qui raconte, sans abattre toutes mes cartes, et celui qui regarde, auquel j’abandonne une part d’imagination. »
La photographie de Matt Henry se présente sous la forme d’une ction représentée par des décors prove- nant d’Angleterre et des Etats-Unis.
Son travail se joue de la photographie américaine, du cinéma et de la littérature, a n d’interroger de façon sous-jacente des questionnements idéologiques. Particulièrement intéressé par la contre-culture, son pre- mier ouvrage « Short Stories » met en scène, dans une vision à la fois utopique et dystopique, une petite ville conservatrice qui voit la montée d’une politique progressiste.
Matt Henry a été exposé en Europe, en Amérique du Nord et en Asie.
La galerie Polka est heureuse de présenter « The Trip », la première exposition du photographe anglais Matt Henry.
Fasciné par la politique et la culture américaine des années 60 et 70, Matt Henry s’intéresse au concept de « conte photogra- phique ». Il imagine et fabrique un récit visuel en costume d’époque, conçu comme un roman photo, qui dresse le portrait d’une Amérique contestataire. La passion de Matt Henry pour les Etats-Unis commence dès son plus jeune âge, lorsqu’il se faisait livrer des VHS de lms américains pour échapper à l’ennui de son petit village anglais. Ensuite, il y a eu les écrivains, Steinbeck, Faulkner puis les séries té...
Horticultural movements through time have inspired the world of arts in ancient and in modern civilizations, in Eastern and Western societies. Yet in GARDENING, the garden as a subject is secondary or in some cases literally non existing; what is central is the idea of GARDENING as a way it represents a serious contribution to a good life, close to Aristotle's Eudaimonia which implicates living well or happiness as an active virtuous activity instead of a static goal.
The GARDENING exhibition at FLATLAND GALLERY follows different paths of ‘ a good life'.
The idea to live well has been supported by Professor David E. Cooper who wrote ‘A Philosophy of Gardens' (Oxford University Press) in which he addresses why gardens are of such great significance to so many people. Cooper insists that it is...