DIDIER LEMARCHAND , photo-graphe et plasticien ouvre son atelier dans le cadre de la manifestation organisée par le Conseil Régional de Picardie : INVITATIONS D'ARTISTES,60 artistes picards vous ouvrent leur porte, le samedi30 septembre de 14 à 20 h ET le dimanche 1er octobre de 14 à 20 h....
Denis Dormoy et Didier Lemarchand signeront leur livre accident 08 le mercredi 11 octobre 2006 à partir de 17 h.
A cette occasion seront exposées du 25 septembre au 15 octobre
une partie des photographies et des textes que contient cet ouvrage.
accident 08du 25 septembre au 15 octobre...
Galerie Associative - 13, rue Henri Gréber 60000 Beauvais
03 44 45 47 69
vernissage le 21 octobre à 18 h
ouverture le mercredi, vendredi et le samedi de 15 à 19 h et sur rendez-vous
Le monde va mal : des attentats, des guerres, des pandémies, des inondations, des tremblements de terre... Chaque semaine le quotidien Le Monde publie des photographies témoignant de ces maux.
Le monde va bien, du moins pour certains : 1% des plus riches possèdent la moitié des richesses de la planète. Chaque week-end le magazine M du Monde publie des photographies de mode, des publicités pour des articles de luxe, des reportages légers sur les nouvelles formes d'hédonisme.
Cette série associe, sur le mode appropriationniste, ces deux mondes par la surimpression de deux prélèvements de photographies : pour chaque semai...
Galerie REMP-ARTS
du 6 mai au 3 juin 2017
vernissage le 6 mai à 18h
14 rue des remparts
11360 - DURBAN-CORBIÈRES
ouverture du jeudi au dimanche de 17 h 30 à 20 h
et sur rendez-vous
06.87.03.66.55
Le monde va mal : des attentats, des guerres, des pandémies, des inondations, des tremblements de terre ... Chaque semaine le quotidien Le Monde publie des photographies témoignant de ces maux.
Le monde va bien, du moins pour certains : 1% des plus riches possèdent la moitié des richesses de la planète. Chaque week-end le magazine M du Monde publie des photographies de mode, des publicités pour des articles de luxe, des reportages légers sur les nouvelles formes d'hédonisme.
Cette série associe, sur le mode appropriationniste, ces deux mondes par la surimpression de d...
Une présence peut être une forme d’absence : faire acte de présence en est un bel exemple. on est là physiquement, c’est tout.
en photographie, on a trop tendance à oublier que la vraie vie est absente au sens propre du terme. la ressemblance ne me parait pas être la garantie de cette présence.
il faut la chercher ailleurs. ce sera l’objet de cette exposition.
Galerie associative, beauvais - 13, rue henri gréber - ouverture le mercredi et le samedi de 15 à 19 h et sur rendez-vous
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Revisiter l’univers du roman-photo, se l’approprier en s’éloignant de la narration et du réalisme immédiat pour glisser vers l’intime, le fantasme. 39 photo&graphies, prélèvements de romans-photos des années 60, retravaillés sur lesquelles sont intégrés des textes , extraits de dialogues, repris dans la typographie originelle. Objet de dialogue image/texte, ici/là. Objet où s’expose le photographe. Objet devant soi, devant lequel le corps se déplace, s’arrête. Ces photo&graphies sont accompagnées d’une vidéo-projection : animation Flash projetée en boucle dans une salle obscure : une centaine de textes d’écriture blanche sur fond noi...
Le quotidien nous échappe
Lisons le journal : subrepticement le regard abandonne la violence ou la vacuité du quotidien en glissant dans les marges, dans les accidents survenus sur le papier des pages. Il y découvre l'empreinte inversée de la page en vis-à-vis créée par l'encre fraîche au moment du pliage, le recto qui transparaît à travers la finesse du papier. Textes, graphismes, traces de photographies se trouvent mêlés entre eux : palimpseste d'une journée dans le monde dont l'actualité ne serait pas celle de la presse. Le regard circule, l'espace et le temps s'en trouvent démultipliés : espace de la page, espace référentiel/espace suggéré, espace entre l'endroit et l'envers, espace entre l'écrit et l'image, espace entre les mots, espace ou temps de la mémoire, temps linéaire ou temps achron...
Entrefils
« […] le plus souvent nous passons d'un endroit à l'autre, d'un espace à l'autre sans songer à mesurer, à prendre en charge, à prendre en compte ces laps d'espace. Le problème n'est pas d'inventer l'espace, encore moins de le ré-inventer (trop de gens bien intentionnés sont là aujourd'hui pour penser notre environnement...), mais de l'interroger, ou, plus simplement encore, de le lire ; car ce que nous appelons quotidienneté n'est pas évidence, mais opacité : une forme de cécité, une manière d'anesthésie. » Georges Perec - Espèces d'espaces 1974
Pour interroger l'espace mental qui existe entre diversespersonnes, le téléphone fixe m'est apparu comme un bel élément de lien entre deux univers. Au cours d'une communication on peut être amené à imaginer réciproquement l'espace i...
DidierLemarchandphoto-graphe et plasticien présente l'opus 2 de sa série :Entrefils àAux MaraisDépartementale 981 entre Beauvais et Auneuil - Oise), Salle polyvalente du village dans le cadre de la Soupe à l'artorganisée par l'association Hors Cadre sur le thème : "t'es où là ?"
‹p›
Pour interroger l'espace mental qui existe entre diversespersonnes, le téléphone fixe m'est apparu comme un bel élément de lien entre deux univers. Au cours d'une communication on peut être amené à imaginer réciproquement l'espace intime de son correspondant, ce qui n'est pas le cas avec le portable (pouvant appeler de partout, au bout du compte on appelle de nulle part). Entre l'espace imaginé et l'espace réel, entre les deux espaces des deux bouts de la ligne s'ouvrent des espaces mentaux incommensurables, des tissa...
résurgence 1&2
A travers la naturalisation, les muséums ont cherché à donner vie à des animaux inertes. Aujourd'hui, seuls les jeunes enfants et les innocents sont encore impressionnés par cet ersazt de vie. Les animaux empaillés ont été supplantés auprès du public par la photographie et le cinéma documentaire. Or, paradoxalement, la photographie animalière à travers son naturalisme "taxidermise" aussi à sa façon les animaux.
En parcourant les allées de différents muséums (La Chaux de Fond, Dijon, Autun, Toulon) une autre vision photographique s'est imposée : dénaturaliser les animaux empaillés pour leur redonner vie derrière l'oeil du spectateur; retrouver, par leur surgissement, non pas le mouvement réel saisi, mais un mouvement virtuel, potentiellement bien plus riche en sensations, souveni...
Dans le cadre du Mois Off hors les murs
Vernissage le mardi 26 juillet à 18h30
En cette époque, où des cadavres ensanglantés sont servis dans l'assiette des téléspectateurs au journal de 20h, il ne me paraît plus envisageable d'aborder frontalement les tragédies internationales. Trop d'image tue l'image. Il ne reste plus, pour être vu et entendu dans cette cacophonie générale, qu'à emprunter des chemins détournés.
Cette série a été ma façon de parler du 11 septembre 2001. Dans l'après-coup, une fois passées les émotions premières, les poubelles installées en ville à la suite de cet événement m'ont paru condenser à elles seules toute la complexité de nos réactions : elles nous rassurent en empêchant la dissimulation d'une bombe mais en même temps nous rappellent que la dénonciation de ...