Né tous deux en 1949, travaillant en duo depuis 1969 sans qu'il soit aisé de déterminer exactement l'apport de chacun, ils ont su mettre sur pied une technique d'approche limpide, lucide, et sans complaisance qui, dans le genre si galvaudé du portrait, place leurs images, populaires et pleines d'humour, dans un créneau original entre Sander et Doisneau. Il y avait déjà Bouvard et Pécuchet, Laurel et Hardy, Quick et Flupke ou les frères Taviani, il y a désormais Despatin et Gobeli.
Extrait d' un article de Patrick ROEGIERS, paru dans "Révolution" n°267 12 au 18 avril 1985