Caroline Boyer #Photographe
Après un Deug de Lettres Modernes, une Maîtrise de Médiation Culturelle de l'art et un Master Pro 2 de Théorie et Pratique des arts, Caroline Boyer est étudiante en troisième année de l'ENSP.
Elle a assité en 2006 Olivier Rebufa, et a travaillé avec l'artiste chorégraphe Christian Ziegler et le ballet Preljocaj.
Elle a participé à deux expositions collectives : WIP dans le cadre de RIP et La Figure Humaine à la galerie Vol de nuits à Marseille.
Exposition L'espace Esperluette expose ses "Modèles, Modèles"
Après une expostion dédiée à des photographes de renommée internationale, dont Bernard Plossu et Gilbert Garcin, L'Esperluette ouvre son espace à quatre jeunes photographes : quatre jeunes femmes formées à l'Ecole Nationale de la Photographie de Arles, dont les oeuvres s'inscrivent admirablement dans le contexte sociale et affectif d'aujourd'hui.
© Espace Esperluette
...Exposition FEMMES avec VUE Photographie Contemporaine A l’occasion des 30 ans du Mois de la Photo à Paris, en plein Quartier Latin, la galerie Artfiler présente FEMMES avec VUE.
A l’initiative de Francesca DI BONITO, directrice artistique de l’événement, avec le concours du galeriste Didier BIERJON, cinq artistes femmes, partagent un langage contemporain en affirmant une vision d’auteur.
FEMMES avec VUE est la vue de Cynthia CAPPE, Marikel LAHANA, Francesca DI BONITO, Caroline BOYER, Kristina SEREIKAITE Dans un esprit d’ouverture aux nouveaux talents, opérant dans le champ de l’image, et pour politique de promouvoir l’art contemporain, l’exposition se propose de réunir diverses démarches artistiques explorant le médium photographique.
Le croisement de ces reg...Exposition Caroline Boyer - Une autre réalité Mon travail consiste en des mises en scène de personnages où l’expérience immédiate prône. Il s’attache à montrer une autre représentation de ce que le sens commun reconnaît. Ici, le personnage fait valoir ses propres perceptions.
Par des jeux de déformation, reformation, ou encore par détournement de codes ou de gestes, je tente de chorégraphier le quotidien.
Le corps s’approprie un lieu, un espace, ce qui entraîne la dissolution de la personne en un «corps-objet». Elle est alors une marionnette guidée au quotidien, manipulée par une «société».
Il se joue ainsi un mimétisme comique ou tragique. II est question d’un abandon des apparences et de l’amou...Modifier l'image