Byung-hun Min
#Photographe
- Exposition
Exposition de Byung-Hun Min
Autodidacte, Byung-Hun MIN a passé de nombreuses années à étudier les techniques de développement des photographies argentiques qu’il continue de tirer lui-même dans son atelier près de Séoul. Imprimées sur du papier patiemment choisi pour chaque série, dont la trame visible à l’oeil nu participe de l’oeuvre, ses photographies – toujours en noir et blanc – nous donnent à voir, ou plutôt nous laissent deviner...
Les photographies de Byung-Hun MIN ont l’évanescence d’un dessin au crayon : très peu contrastées, à la blancheur cassée, délibérément sans éclat, ses oeuvres en appellent à l’art de la discrétion. A peine apparaissent quelquefois dans ces paysages, sur la monotonie photographique, le tremblement d’une ligne, d... - Exposition
Cinq artistes revisitent le portrait au Théâtre Charles Nègre de Nice
Le Théâtre de la Photographie et de l’Image de la Ville de Nice accueille, du 23 février au 12 mai 2013, l’exposition des travaux de cinq artistes venus d’horizons différents, confirmés ou en devenir, Bertrand Desprez, Patrick Swirc, Marion Gronier, Byung-Hun Min et Elene Usdin qui proposeront un voyage à travers le portrait. Cinq façons de représenter l’autre et par conséquent son monde. Au bout du voyage apparait alors un tableau de ce que nous sommes, de ce qui nous rassemble, de ce qui nous sépare, de ce qui nous fascine. Tel est l’objet du portrait photographique intimement lié à l’histoire de ce médium.
Le commissariat de l’exposition «Portraits croisés» a ... - Exposition
Byung-Hun MIN - Rétrospective, à la Galerie Particulière
Né en 1955 à Séoul, Byung-Hun MIN développe depuis plus de trente ans une œuvre photographique singulière qui tend à rendre visible ce qu’il considère comme l’ essence même de son pays : la simplicité et le silence.
Autodidacte, Byung-Hun MIN a passe de nombreuses anneées à étudier les techniques de développement des photographies argentiques qu’il continue de tirer lui-même dans son atelier près de Séoul. Imprimées sur du papier patiemment choisi pour chaque série, dont la trame visible à l’œil nu participe de l’œuvre, ses photographies – toujours en noir et blanc - nous donnent à voir, ou plutôt nous laissent devin...
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