Le travail de Murielle est une recherche sur la perception de la réalité.
le point de rupture entre le réel, l'imaginaire et la mémoire; l'illusion de la réalité. En utilisant des images de documentaires, de films, elle efface une histoire, qui ne lui appartient pas pour en proposer une autre.
Techniquement ces images sont le résultat de deux prises de vues, sans retouches numériques. Les ouvertures, pareilles à des fenêtres, sont des surfaces de rencontre entre le dedans et le dehors où se confondent le visible et l'invisible, le réel et l'imaginaire, entre lesquels le spectateur est invité à passer.
Diplômée en 2005 de l’école d’Arts appliqués de Vevey (Suisse), ses travaux on...
Voyages et étapes, par delà les frontières.
Des arrivées, des départs, des courts séjours.
On s’en va puis on revient, encore et encore.
On se croise, on regarde, autour de soi, tout le temps.
Dans ses oeuvres, Arnaud Brihay exprime sa vie de nomade, de voyageur solitaire, parcourant le Monde afin d’en ramener d’éphémères visions.
Belles et simples.
Des sensations, des impressions, de jour comme de nuit, sur le vif, toujours.
Chacune de ses séries est une histoire courte, une facette de son infini voyage qui marque son passage dans ce Monde qu’il ne cesse de parcourir.
Du Liban à l’Irlande en passant par la Russie, tout est capturé : ces photographies, oeuvres du temps, poétiques et color&eacut...
Voyages et étapes, par‐delà les frontières. Des arrivées, des départs, de courts séjours. On s’en va puis on revient, encore et encore. On se croise, on se regarde, autour de soi, tout le temps. Dans ses oeuvres, Arnaud Brihay exprime sa vie de nomade, de voyageur seul, à travers le Monde. Tout y est sensations, errances, rencontres à la croisée de ses regards. Chacune de ses séries est une histoire courte, une facette de son voyage sans fin. Arnaud Brihay vit à Lyon depuis près de dix ans. Il a découvert la photographie à l’âge de six ans et ne l’a jamais quittée depuis. Originaire de Belgique, il y a étudié la photographie et la communication à l’Ihecs‐B...