Alexandre Mostras
#Photographe
Alexandre Mostras est né en 1970 à Lyon.
Après des études de sémiologie et une Maîtrise de Cinéma,
il intègre l'Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d'Arles.
Il travaille actuellement à Paris comme photographe et réalisateur de films documentaires depuis plus de 6 ans.
Finaliste en 2001 de la Bourse du Talent KODAK pour son travail sur Cuba,
il poursuit son périple en Amérique latine avec le Chili en 2002.
En 2005 ces deux travaux sont regroupés au sein d'une grande exposition parisienne
réunissant un ensemble d'une trentaine de photographies grand format (75x120) tirées sous le label Digigraphie
(une technologie mise au point par Epson et reconnue dans le domaine de l'art).
- Exposition
Alexandre Mostras - Comme un détail vu de loin - MK2 Bibliothèque
L'image propose, elle n'impose rien.
« En voyage, lorsque je compose une image, je prends toujours de la distance par rapport aux choses, je m'éloigne.
De sorte que, ce qui pourrait être un sujet photographique à part entière comme une scène de vie ou un visage, se transforme par ma prise de distance, en de simples éléments sans hiérarchie les uns par rapport aux autres.
Un homme équivaut à un arbre, un arbre à un immeuble, un immeuble à une route et une route à… un homme.
S'il y a toujours des personnages dans mes images c'est qu'ils sont au centre de mes préoccupations, mais je les laisse libres d'évoluer dans leur espace.Mon cadrage ne les contraint pas, ils gardent leur autonomie dans un quotidien que j'ai à peine dérangé. A l'image des tableaux de Bruegel, je donne aux personna...
Modifier l'image
L'image propose, elle n'impose rien.
« En voyage, lorsque je compose une image, je prends toujours de la distance par rapport aux choses, je m'éloigne.
De sorte que, ce qui pourrait être un sujet photographique à part entière comme une scène de vie ou un visage, se transforme par ma prise de distance, en de simples éléments sans hiérarchie les uns par rapport aux autres.
Un homme équivaut à un arbre, un arbre à un immeuble, un immeuble à une route et une route à… un homme.
S'il y a toujours des personnages dans mes images c'est qu'ils sont au centre de mes préoccupations, mais je les laisse libres d'évoluer dans leur espace.Mon cadrage ne les contraint pas, ils gardent leur autonomie dans un quotidien que j'ai à peine dérangé. A l'image des tableaux de Bruegel, je donne aux personna...