La Bellevilloise 19-21, rue Boyer 75020 Paris France
« L’ART EST POUR TOUS, SEULE UNE ELITE LE SAIT .» Dora Garcia
Art Event organise en partenariat avec La Bellevilloise la 10ème édition du Grand Salon d’Art Abordable du 18 au 20 mai 2013.
Le Grand Salon d’Art Abordable a été créé en Juin 2009 consécutivement à la crise financière qui a touché les artistes et les galeries de plein fouet.
En partenariat avec la Bellevilloise, Art Event, fort d’une longue expérience dans la création d’événements artistiques, a relevé le pari de relancer l’achat d’œuvres d’art en se basant sur un constat : une importante partie du public potentiellement intéressé par l’art n’ose pas toujours pousser les portes des galeries ou des lieux consacrés.
Le Grand Salon d’Art Abordable s’est donc forgé autour de deux concepts : accessibilité et convivialité.
Une quarantaine d’artistes seront présents sur le salon et exposeront plus de 200 œuvres originales signées et certifiées (peintures, sculptures, dessins, gravures, photographies). C’est ainsi que nous croyons pouvoir créer une véritable rencontre entre les artistes et le public.
Par ailleurs, les œuvres seront mises en vente à des prix d’atelier et cela au profit exclusif des artistes puisqu’Art Event ne perçoit aucune commission sur les ventes. De cette façon les artistes peuvent poursuivre leur travail en faisant face à leurs frais de fonctionnement tout en proposant leurs œuvres à des prix abordables (entre 150€ et 8000€).
Le samedi 18, dimanche 19, et lundi 20 mai 2013 se tiendra la 10ème édition du Grand Salon d’Art Abordable à la Bellevilloise à Paris. Elle célèbre trois années d’existence, et confirme le succès de notre approche auprès du public, des artistes, des professionnels et des médias.
Pour cette édition anniversaire nous mettrons en avant un artiste encore inconnu : Gérard Vincent.
Pour cette dixième édition Art’Event a décidé de mettre en avant la photographie à travers les travaux de plusieurs artistes.
ARNO: ONE FOR YOU, ONE FOR ME
Cette série de portraits a été réalisée par le photographe ARNO lors d’un voyage en Mongolie. Dons/contre dons, est la règle d'or du voyage. Tous les portraits ont été doublés, l'un pour le photographe, l'autre pour la personne rencontrée.
« Dolores, j'ai appelé ma chambre photographique grand format, Dolores. A l'origine c'est une Graflex speed graphic de 1937 que j'ai acheté à un ami passionné, et sur laquelle je n'ai cessé de faire des modifications en vue d'un voyage.
Pourquoi Dolores ? Ce nom m'est venu au bout de quelques jours, en marchant avec tout le bardât sur l'épaule … Dolores , c'est un nom un peu désuet , comme cette vielle chambre en bois, lola, son diminutif est un termes affectueux et familier, mais surtout cela veut dire douleur …. et lorsque l'on porte les 10 kilos de matériel requis pour faire une photo, sur l'épaule, c'est à dire, la chambre, le dos Polaroid, le trépied , la loupe et l'objectif énorme que j'ai choisi … Dolores lui va comme un gant !
© Arno
J'ai choisi de partir avec un objectif de 1941, lourd fragile et imposant … un Aero Ektar de l'US ARMY à l’origine, il servait à la reconnaissance aérienne et je suis tombé amoureux de son rendu pour les portraits. Bien que totalement inadapté pour le voyage en sac à dos, j'ai décidé de ne prendre que celui ci … pour ne pas être t'ente d'en utiliser un autre par facilité.
Le "no plan project" … c'est ainsi que j'ai nommé ma façon de voyager … c'est à dire que l'itinéraire se fait tout seul au fur et à mesure des rencontres. » Arno
© Arno
NEST : REVUE PHOTOGRAPHIQUE
Michael Möhr et David Barthelemy seront présents au Grand Salon d’Art Abordable pour présenter leurs travaux photographiques ainsi que leur revue NEST.
Il s’agit d’un support papier, hybride entre une revue et un livre, dénommé NEST et qui a pour vocation de proposer de l’image sous sa forme la plus simple, sans texte et sans légende et ce dans le seul but de préserver la liberté d’interprétation du lecteur, qui devient alors acteur des sujets qui le touchent, en se les réappropriant par sa propre imagination.
NEST qui en est à son deuxième numéro propose principalement de la photographie mais s’ouvre également à l’illustration. Sa forme est résolument moderne, mais son fond et ses intentions des plus classiques. NEST se veut tourné vers la découverte, la rencontre, l’échange et la collaboration.
« Le premier numéro de NEST fut expérimental, mais rencontra un accueil des plus favorables, de la part des professionnels et d’un public de passionnés et de curieux.
Bien qu’encore trop confidentiel, il a su séduire et fédérer d’autres artistes pour la réalisation du numéro 2.
NEST, est une autoproduction et autoédition, fruit de la collaboration de deux photographes, Michael Möhr et David Barthelemy.
Nous sommes amis d’enfance, et nous avons voulu présenter la photographie et l’art visuel en général, d’une manière contemplative, sur un support concret, comme un pavé dans la mare de notre époque.
© Nest
Notre pratique de la photographie a de multiples facettes, allant de la nature morte au portrait en passant par la mode et ceci dans un souci constant d'esthétisme.
Nous apprécions l'exclusivité et la rareté, nous sommes animés par la volonté d'être précurseurs.
Pour l’instant tiré à 600 exemplaires, et imprimé en France, nous sommes conscients qu’une telle aventure ne peut se poursuivre sans élargir le regard à d‘autres horizons.
Tourné vers l ‘ensemble des arts visuels, NEST se veut ouvert à la rencontre et à l ‘échange avec des artistes d‘univers communs. » NEST
Liste complète et infos sur la page Facebook de NEST : facebook/nest
© Nest
TIGER BABIES GALERIE HORS LES MURS : ANAIS WULF, BAPTISTE MOREL ET PIERRE HANAU.
Anaïs Wulf, Baptiste Morel et Pierre Hanau sont trois photographes de talent qui exposeront leurs travaux sur le même espace : TIGER BABIES GALERIE HORS LES MURS
BAPTISTE MOREL
Diplômé de l'école de Condé Lyon, Baptiste Morel, travaille actuellement à la restauration des archives de missions de son illustre aïeul J.H. MAWRELL. Ces images sur plaque de verre datées de la fin du XIXème siècle nous livrent au fil de leur renaissance les images d'une terre et d'une espèce inconnue.
© Baptiste Morel
J.H. MAWRELL n'ayant laissé que peut de traces écrites, nous sommes encore incapables de savoir si cette espèce a existé ou s'il s'agit de la supercherie d'un explorateur en mal de découvertes majeures.
Baptiste MOREL nous livre ici les premières images de cette épopée dont les contours se dessinent au fil des jours...
© Baptiste Morel
PIERRE HANAU
Pierre Hanau vit et travaille près de Paris. Il est cinéaste et pédagogue. Il présentera à l'occasion du Salon de l'art abordable plusieurs études photographiques concernant le cinéma d'explorateur des années vingt. En particulier, la recherche en cours l'a conduit à s'intéresser au rapport texte /image dans le film de Marc Allégret "Voyage au Congo", et notamment aux intertitres de ce film.
ALEX PERRET
Alex Perret est parti voyager avec sa caméra il y a 12 ans, à l’âge de 21 ans. L’Angleterre, l’Espagne, l’Amérique du sud, le Portugal, la Bolivie et l’Argentine surtout, où il a passé un an et demi. Après un court séjour en France, il est parti pour Jérusalem, avant de retourner en Argentine où il a vécu pendant cinq ans, dont quatre ans à la frontière Bolivienne et Chilienne, dans les Andes. C’est là, dans le Nord-Ouest argentin, dans un petit village appelé Purmamarca, qu’il a commencé à faire de la photo à plein temps. Il y a trouvé une salle d’exposition et s’est installé. Alex a été profondément marqué par les personnes qu’il a rencontrées lors de ses nombreux voyages, et c’est à travers la caméra qu’il choisit de transmettre ses expériences et sa sensibilité.
© Alex Perret
